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  • Renforcement du rôle des consuls honoraires

    Question de Mme Hélène Conway-Mouret (Sénatrice des Français établis hors de France - SER) publiée le 16/12/2021 : Mme Hélène Conway-Mouret attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'Europe et des affaires étrangères, chargé du tourisme, des Français de l'étranger et de la francophonie, et auprès du ministre de l'économie, des finances et de la relance, chargé des PME sur le renforcement du rôle des consuls honoraires. Les années de réductions budgétaires subies par le ministère de l'Europe et des affaires étrangères ont concerné au premier chef les consulats et ont conduit à un amoindrissement des contacts directs de ces derniers avec les Français de l'étranger et à une dématérialisation croissante des démarches à laquelle tous nos compatriotes n'ont pas accès pour diverses raisons (certains vivent dans des régions qui sont dépourvues d'un réseau internet satisfaisant, d'autres ont du mal à maîtriser les outils numériques). Dans ce contexte, les consuls honoraires – particuliers qui exercent à titre bénévole la protection des ressortissants français en difficulté et un travail de relais administratif des consulats – jouent un rôle de plus en plus important. Environ 500 dans le monde, ils assurent un maillage territorial particulièrement appréciable dans les grands pays. Ils offrent proximité et écoute et donnent la possibilité aux Français vivant loin des consulats ou n'étant pas à l'aise avec la dématérialisation de récupérer leurs titres d'identité sans avoir à faire plusieurs heures de trajet. En outre, les consuls honoraires apportent une aide précieuse dans la promotion des liens économiques et culturels entre la France et les régions où ils se trouvent grâce à leur connaissance fine des acteurs locaux et ils sont à ce titre régulièrement sollicités par les ambassades. Compte tenu de l'importance prise par les consuls honoraires, elle souhaiterait savoir s'il serait possible de mieux reconnaître et valoriser leur rôle auprès des ambassades et consulats (par exemple en leur attribuant une adresse officielle du type prenom.nom@diplomatie.gouv.fr et en leur permettant de participer aux réunions pour l'attribution d'aides d'urgence aux Français vivant dans leurs régions) et d'élargir leurs prérogatives (notamment en leur donnant la possibilité d'accorder des laissez-passer et la saisie manuelle des demandes de renouvellement de titres d'identité pour les compatriotes étant dans l'incapacité physique de se déplacer jusqu'au consulat). L'attribution d'une adresse courriel standardisée apparaît nécessaire tant à la légitimation et la reconnaissance du rôle officiel des consuls honoraires au regard des autorités locales que pour des raisons évidentes de sécurité et de protection des données parfois sensibles que les consuls honoraires échangent très régulièrement avec les ambassades. Réponse du Ministère auprès du ministre de l'Europe et des affaires étrangères et du ministre de l'économie, des finances et de la relance - Tourisme, Français de l'étranger, francophonie, petites et moyennes entreprises publiée le 19/01/2022 : Mme le président. La parole est à Mme Hélène Conway-Mouret, auteure de la question n° 2004, adressée à M. le ministre de l'Europe et des affaires étrangères. Mme Hélène Conway-Mouret. Monsieur le ministre, dans le monde, 500 consuls honoraires, tous bénévoles, offrent proximité et écoute. Ils sont souvent les premiers interlocuteurs des ressortissants français résidant à l'étranger ou de passage, lorsque ces derniers rencontrent des difficultés financières, tombent malades, sont victimes d'un accident grave ou bien déplorent une perte ou un vol. Les consuls honoraires représentent également un soutien administratif important pour les consulats, notamment pour la remise des titres d'identité, l'établissement d'un certificat de vie ou le recueil des procurations de vote. Ils assurent un maillage territorial particulièrement appréciable dans tous les pays et sont d'une aide précieuse pour la promotion des liens économiques et culturels, grâce à leur connaissance des acteurs locaux. Ils sont donc des relais indispensables de nos ambassades. Au vu de leur implication, je souhaiterais savoir s'il est envisagé de mieux reconnaître et de valoriser leur rôle auprès des ambassades et des consulats. Les consuls honoraires pourraient par exemple disposer d'une adresse courriel standardisée du type « prénom.nom@diplomatie.gouv.fr » et participer également, à titre consultatif, aux réunions au cours desquelles est décidée l'attribution d'aides d'urgence aux Français vivant dans leur région. Enfin, afin de faciliter les démarches de nos concitoyens, il semble urgent d'élargir les prérogatives des consuls honoraires et de leur donner la possibilité d'accorder des laissez-passer ou de saisir manuellement les demandes de renouvellement de titres d'identité faites par des personnes dans l'incapacité de se déplacer. Vous l'aurez compris, monsieur le ministre, leur engagement et leur dévouement sur le terrain méritent toute notre reconnaissance. Nous devons répondre au mieux à leurs demandes. Mme le président. La parole est à M. le ministre délégué. M. Jean-Baptiste Lemoyne, ministre délégué auprès du ministre de l'Europe et des affaires étrangères, chargé du tourisme, des Français de l'étranger et de la francophonie, et auprès du ministre de l'économie, des finances et de la relance, chargé des petites et moyennes entreprises. Madame la sénatrice Conway-Mouret, les consuls honoraires sont très clairement des maillons précieux de la chaîne et de l'écosystème qui viennent en appui à la vie quotidienne de nos compatriotes établis hors de France. Il y a 493 agences consulaires en activité, ce qui constitue un maillage très étroit et assez unique. Leur mission essentielle est la protection consulaire, l'assistance à nos ressortissants connaissant des difficultés. Les consuls honoraires sont naturellement des acteurs précieux de la diplomatie culturelle et économique et donc de l'influence française, en particulier en cette période de pandémie. Vous proposez que les consuls honoraires, qui ont un certain nombre de compétences, soient mieux mis en valeur. En ce qui concerne les outils, je suis tout à fait prêt à creuser l'idée d'une adresse mail standardisée, comme nous l'avons fait pour les conseillers des Français de l'étranger. Néanmoins, il faut aussi prendre en compte le fait que ces personnes sont pleinement engagées dans leur vie professionnelle, qu'elles sont connues au titre de leurs autres engagements et qu'elles communiquent souvent avec leurs propres outils. En tous les cas, je suis prêt à étudier cette question. De façon plus globale, même si un décret précise ce que les consuls honoraires peuvent faire et ne pas faire, il me semblerait intéressant d'effectuer des comparaisons à l'échelon international des différents statuts existants, à l'instar de ce qui a été fait dans l'étude de législation comparée que le Sénat avait réalisée en 2005, afin de voir si nous pourrions nous inspirer de certaines pratiques et préciser les matières sur lesquelles les consuls honoraires pourraient intervenir. Nous devons toutefois garder à l'esprit le fait que ces personnes sont des bénévoles et qu'elles exercent de nombreuses activités. Il faut donc veiller à ce que la charge qui leur est imposée soit compatible avec ces activités, afin de ne pas décourager les bonnes volontés. Vous le voyez, nous sommes ouverts sur cette question et disposés à effectuer un travail sur les missions des consuls honoraires. Mme le président. La parole est à Mme Hélène Conway-Mouret, pour la réplique. Mme Hélène Conway-Mouret. C'est la deuxième fois que vous répondez de façon très positive à une question orale que je vous pose ! M. Jean-Baptiste Lemoyne, ministre délégué. Je suis constant ! Mme Hélène Conway-Mouret. La dernière fois, en juin 2021, ma question portait sur la prise en charge totale des accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) dans les lycées à l'étranger. Je vous fais part aujourd'hui d'une demande récurrente des consuls honoraires. Il est vrai qu'il ne faut pas les surcharger de travail. Cela étant, ils formulent des requêtes, recensées dans le travail que j'ai réalisé en Irlande avec trois consuls honoraires en Irlande, à Galway, à Limerick et à Cork. L'attribution d'une adresse courriel standardisée est nécessaire tant pour la reconnaissance du rôle des consuls honoraires auprès des autorités locales que pour des raisons évidentes de sécurité, afin de protéger les données parfois sensibles qu'ils échangent avec les ambassades. En tout cas, nous avons tout intérêt à continuer à réfléchir ensemble. Pour en savoir plus, cliquez ici.

  • Retour sur mon déplacement au Liban

    Mardi 30 novembre : Une première matinée riche en échanges au Grand Lycée Franco-Libanais Beyrouth : équipe de direction, représentants des personnels, des parents d’élèves et des élèves. Nous avons bien sûr évoqué la situation très compliquée dans laquelle se trouver le Liban depuis quelques années et les aides que la France a mise en place suite aux attentats d'août 2020 et dans le cadre du plan de soutien Covid19. Echanges qui se sont poursuivis ensuite avec le proviseur du Grand Lycée Franco-Libanais Beyrouth, Xavier Ferrand, le directeur général régional de la Mission laïque française, Patrick Joseph, le coordonnateur du réseau MLF-Liban et proviseur du Lycée Franco-Libanais Alphonse de Lamartine, Jean-Michel Maigre et des proviseurs du Lycée Franco-Libanais Mlf-Verdun, Jean-Marc Aubin et du Lycée Nahr Ibrahim - LFLNI, Dominique Javel en présence de Ghassan Ayoub, Conseiller des Français de l'étranger pour le Liban et la Syrie. L'après-midi, j'ai pu m'entretrenir avec la directrice de la fondation Rafic Hariri avant d'aller au Lycée Abdel Kader (LAK) pour échanger avec l'équipe de direction : Proviseur, Directrice et Proviseure adjointe. Enfin, j'ai pu rencontrer les présidents de l'UFE-Liban et de l'ADFE pour évoquer avec eux les préoccupations de nos concitoyens et écouter leurs remontées de terrain. Mercredi 1er décembre : Troisième jour et visite des lycées Elite de Tyr avec leur fondateur et vice-président de l'AFLEC, Rimah Hammoud, et les proviseurs de Tyr, Sandrine Guy, de Beyrouth, Christophe Cassin et de Bchamoun, Mme Darwish avant de rencontrer une délégation d'élèves et d'enseignants. Visite du Collège Protestant Français avec son proviseur Olivier Gautier, le directeur du Primaire, Stéphane Pollack, la proviseure adjointe Anne Vicente, Lina Kerbage Al Khal, censeur et Jacques Paul, directeur Administratif et financier. Je remercie Mme l’Ambassadrice de France au Liban, Anne Grillo, que j'avais déjà rencontrée dans ses précédentes fonctions, pour l'entretien qu'elle m'a accordé à la Résidence des Pins et nos échanges. Jeudi 2 décembre : Je suis intervenue en visio auprès des étudiants de la deuxième promotion du master "enseigner en France et à l'étranger" de INSPÉ Clermont Auvergne qui vont effectuer un stage prochainement soit dans un établissement EFE, soit dans un établissement étranger francophone ou encore dans un établissement labellisé FrancEducation. Premier live de ReflexeS en présence du secrétaire d'Etat Jean-Baptiste Lemoyne, vous êtes plus de 1500 à avoir vu ce premier live, la vidéo reste en ligne pour celles et ceux qui n'auraient pu être présents hier. Suite à ce live, nous avons pu échanger avec les médecins référents du poste sur la situation sanitaire de la communauté française du Liban. Je remercie très sincèrement M. le Consul général pour son accueil tout au long de mon déplacement et ce dernier temps d'échanges organisé avec les élus. Des conseillers des Français de l'étranger tous engagés au service de nos concitoyens. Merci à eux pour leur engagement : Ghassan Ayoub, Dani Osman, Denise Revers-Haddad, Lucas Lamah, Ziad Nassour.

  • Entretien avec Gérard Larcher, président du Sénat

    J'ai été reçue hier par le Président du Sénat, M. Gérard Larcher, pour un entretien qu'il accorde aux sénateurs nouvellement élus. Nous avons pu évoquer ensemble ces deux premiers mois au Palais du Luxembourg, l'actualité et les attentes des Français de l'étranger et mon parcours. Je le remercie pour son accueil et le temps accordé.

  • Instruction des dossiers de soutien au tissu associatif des Français à l'étranger

    Question de M. Jean-Pierre Bansard (Sénateur des Français établis hors de France - Les Républicains-R) publiée le 09/12/2021 : M. Jean-Pierre Bansard attire l'attention de M. le ministre de l'Europe et des affaires étrangères sur l'instruction des dossiers de soutien au tissu associatif des Français à l'étranger (STAFE). Ces dossiers d'abord instruits par les conseils consulaires (CC) sont ensuite examinés au sein d'une commission consultative nationale, réunie à Paris. Dans son compte-rendu de 2020, il apparait pourtant que plusieurs dossiers n'ont pas été présentés en commission nationale alors qu'ils avaient bien été discutés en CC et transmis par les postes consulaires. Concernant le traitement des dossiers, les instructions de cadrage et de traitement des formulaires fournis par l'administration aux élus consulaires mentionnent qu'un projet STAFE ne pourra pas être soutenu sur plusieurs années, sauf exception dûment motivée. Il souhaiterait savoir pourquoi la commission consultative nationale n'examine pas l'ensemble des dossiers transmis par les postes et ayant fait l'objet d'un avis des CC. Il voudrait connaître également les critères permettant l'attribution d'une aide pluriannuelle et lui demande, dans le cas où un projet y accède, si le bénéficiaire doit transmettre un seul dossier pour avoir le montant total de la subvention accordée ou faire chaque année une demande d'une tranche de financement correspondant à son projet global. Il le questionne sur la possibilité pour les demandeurs de compléter ou de modifier leur dossier avant la transmission à la commission nationale consultative, ainsi que sur la possibilité de faire financer des achats de matériels, ayant compris que ceci pouvait être assimilé à une subvention de fonctionnement et donc rejeté, alors même qu'un projet de développement peut précisément nécessiter l'achat de matériel. Enfin, il l'interroge sur la composition et les conditions de renouvellement des membres de la commission nationale consultative et sur l'obligation pour ces derniers ayant des mandats locaux de se déporter des dossiers de leur circonscription pour plus d'équité et de transparence. Réponse du Ministère de l'Europe et des affaires étrangères publiée le 24/03/2022 : Dans le cadre de l'instruction des dossiers du dispositif de soutien au tissu associatif des Français à l'étranger (STAFE), tous les dossiers ayant fait l'objet d'un avis favorable du conseil consulaire sont examinés par la Direction des Français de l'étranger et de l'administration consulaire (DFAE) du ministère de l'Europe et des affaires étrangères (MEAE), et sont présentés à la commission consultative nationale. Etant donné le nombre important de dossiers retenus par les conseils consulaires (342 en 2021), l'examen des dossiers est réalisé en deux temps. En amont de la réunion, un tableau de synthèse contenant l'ensemble des dossiers est transmis aux membres de la commission consultative. Pour en faciliter l'étude, les projets sont présentés en 3 groupes, selon l'avis de la DFAE : favorable, réservé et défavorable. Un commentaire est systématiquement joint pour les dossiers avec avis défavorable. Il a été convenu, lors de la réunion de mars 2021, qu'un commentaire serait également ajouté pour les dossiers avec avis réservé. Pendant la réunion, l'attention de la commission porte essentiellement sur les dossiers avec avis défavorable ou réservé, l'ensemble des dossiers ne pouvant être revu. Les membres de la commission peuvent revenir sur un dossier à tout moment. Les instructions de cadrage prévoient que le même projet ne pourra pas être soutenu sur plusieurs années, sauf exception dûment motivée. Pour ces cas exceptionnels, l'association doit être en mesure de justifier que le projet n'est réalisable que sur plusieurs années et qu'elle disposera des fonds suffisants pour financer le projet par d'autres moyens, afin de respecter la règle de 50% de financement. Les crédits STAFE étant votés en loi de finances chaque année, la demande de subvention doit être renouvelée tous les ans. Cela permet à l'administration et aux conseils consulaires de s'assurer de la bonne utilisation de la subvention et de l'évolution du projet. Tous les dossiers présentés au conseil consulaire STAFE doivent être complets et remis à la date limite de dépôt des dossiers, règle qui permet un traitement équitable de toutes les associations et facilite le travail des conseils consulaires. En outre, une association ne peut pas demander de nouvelle subvention si le projet pour lequel elle a précédemment bénéficié d'une subvention STAFE n'est pas réalisé. Les associations doivent préparer leur dossier de façon anticipée, notamment si elles veulent présenter des devis ou d'autres documents à l'appui de leur dossier. Le projet ne peut être modifié avant la transmission à la commission consultative. En revanche, une fois la subvention accordée, et tant que le contexte sanitaire le justifiera, l'objet peut être modifié, après avis du conseil consulaire et accord du poste diplomatique. Une subvention STAFE peut financer l'achat de matériel si ce dernier concerne le projet pour lequel la subvention est demandée. Mais elle ne finance pas le fonctionnement courant de l'association. Il est toutefois possible qu'une partie des achats réalisés par l'association en vue du projet puisse être réutilisée par l'association pour ses activités courantes. La commission consultative est présidée par la directrice de la DFAE et composée de trois conseillers de l'Assemblée des Français de l'étranger (AFE), d'un représentant de Français du Monde-ADFE, d'un représentant de l'Union des Français de l'étranger (UFE) et de membres de l'administration : le chef du service des Français à l'étranger, le chef de la mission de l'aide à la scolarité et de l'action sociale et deux représentants de la Direction de la culture, de l'enseignement, de la recherche et du réseau (DCERR) du MEAE. Les membres élus à l'AFE sont renouvelés en même temps que les autres mandats particuliers de l'AFE. Ils ont ainsi été renouvelés lors de l'Assemblée qui s'est tenue du 14 au 17 décembre 2021. Pour en savoir plus, cliquez ici.

  • Rencontre avec Baki Manèche, Conseiller des Français de l'étranger en Iran

    J'ai eu plaisir à recevoir cette semaine Baki Manèche, Conseiller des Français de l'étranger de l'Afghanistan, Azerbaïdjan, Iran, Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Pakistan, Tadjikistan et Turkménistan. Nous avons évoqué ensemble l'un des enjeux majeurs pour sa circonscription : la francophonie à travers les écoles françaises et les dispositifs FLAM (Français LAngue Maternelle) notamment en Iran qui accueille aujourd'hui un établissement à Téhéran. L'occasion de lui faire rencontrer Rimah Hammoud, vice-président de l'AFLEC de passage à Paris pour évoquer ensemble le développement du réseau des écoles françaises dans le monde. Nous échangerons également avec le directeur de l’Agence prochainement et j’aborderai également avec lui les potentiels développements sur cette zone géographique (établissement homologué, LabelFrancEducation, Flam) beaucoup de choses sont à faire en matière de développement de la francophonie. Accompagner nos élus pour ces projets de francophonie est pour moi essentiel et le socle de mon mandat, ensemble, élus des Français de l’étranger, nous développerons la francophonie en unissant nos forces. A vos côtés, n’hésitez pas à me contacter

  • Elections Assemblée des Français de l'étranger

    Toutes mes félicitations aux 90 conseillères et conseillers de l'Assemblée des Français de l'étranger élus ou réélus ce week-end. L’Assemblée des Français de l’étranger est, avec les conseils consulaires, l’une des instances représentatives Français établis hors de France. La 35ème session de l'AFE aura lieu du 13 au 1 décembre 2021. Plus d'infos sur l'AFE : https://www.assemblee-afe.fr/

  • Dans la presse : Samantha Cazebonne, son ReflexeS pour « imaginer l’école française de demain »

    "La sénatrice des Français établis hors de France, Samantha Cazebonne, a lancé RéflexeS, une plateforme collaborative pour débattre de l’enseignement français à l’étranger. Une manière d’imaginer tous ensemble l’école française de demain" Un article à lire sur : lepetitjournal.com

  • Premier Facebook live de Reflexes le 2 décembre !

    En direct du Liban Au programme : 13h-14h (heure de Paris) : "Retour sur l'actualité des établissements français au #Liban, bilan des aides et perspectives" : - Introduction de Samantha Cazebonne, sénatrice des Français établis hors de France - Intervention de Jean-Baptiste Lemoyne, Secrétaire d'Etat chargé des Français de l'étranger - Intervention de Jean-Paul Négrel, directeur adjoint de l'AEFE - Intervention de François Perret, président de la Mlf - Intervention de Rimah Hammoud, AFLEC - Intervention des Conseillers des Français de l'étranger : Ghassan Ayoub et Dani Osman - Intervention de François Normant, président de la FAPEE - Intervention de Lamia Kamel, présidente du comité de gestion du GLFL - Temps de Questions/Réponses 14h-15h (heure de Paris) : "Retour sur la rentrée dans le #monde et actualité du réseau” - Samantha Cazebonne et François Normant - Temps de Questions/Réponses A suivre ici : https://www.facebook.com/plateforme.reflexes

  • Rapporteure du texte sur la proposition de loi Fonction de directeur d'école

    Fin novembre, j’ai eu l’honneur d'être rapporteure du texte, au nom du groupe Les Sénateurs RDPI, sur la proposition de loi Fonction de directrice ou de directeur d'école, en remplacement de mon collègue Julien Bargeton. Vous pouvez compter sur moi pour porter ce texte et son application au sein de notre réseau à l’étranger. Voir la vidéo : https://www.facebook.com/SamanthaCazebonneSenatrice/videos/261579402668059/

  • Plan visant à lutter contre le harcèlement scolaire et le cyber-harcèlement

    Question de M. Jean-Pierre Bansard (Sénateur des Français établis hors de France - Les Républicains-R) publiée le 25/11/2021 : M. Jean-Pierre Bansard interpelle M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports sur le plan visant à lutter contre le harcèlement scolaire et le cyber-harcèlement. A l'occasion de la journée nationale de mobilisation contre le harcèlement scolaire, jeudi 18 novembre 2021, le président de la République a annoncé un certain nombre de mesures, parmi lesquelles le lancement en février 2022 d'une application « 3018 » pour aider les victimes à dénoncer les faits. Elles pourront adresser une capture d'écran des situations de harcèlement, afin d'être aidées et mieux accompagnées. Il aimerait avoir s'il est prévu que les élèves suivant leur scolarité dans un établissement du réseau de l'agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) - dont le ministre à la co-tutelle - puissent également bénéficier de cette application, de façon à pouvoir eux aussi dénoncer les faits et les violences dont ils sont victimes, sachant que le numéro de téléphone national qui existe actuellement n'est pas accessible de l'étranger. Réponse du Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports publiée le 10/03/2022 : Le ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports (MENJS) a placé la lutte contre le harcèlement scolaire en tête de ses priorités en conduisant une politique publique volontariste et ambitieuse de lutte contre toutes les formes de harcèlement. Dans le cadre de cette politique, la détermination à combattre ce fléau a enclenché une dynamique dans les actes avec la mobilisation de nombreux acteurs, partenaires et membres de la société civile, la création de nombreux dispositifs, l'existence d'une journée nationale. Le MENJS met à la disposition de tous de nombreuses ressources et guides, notamment au moyen du site « Non au harcèlement ». Depuis cette rentrée scolaire, le programme français anti-harcèlement « pHARe » est généralisé à l'ensemble du territoire national. Ce programme accorde une place importante à la lutte contre le cyber harcèlement et est piloté par 213 superviseurs au niveau académique : des équipes ressources (5 personnes en circonscription / 5 en collège), un volet pédagogique avec 10 heures d'apprentissages via des supports pédagogiques différents sur l'empathie et le cyber, un module de formation « ambassadeurs-collégiens » dédié au cyber harcèlement dans pHARe, une mallette pédagogique à destination des parents, une plateforme numérique recensant l'ensemble des ressources. Deux lignes téléphoniques sont également mises à la disposition des élèves et des familles : Le 3020, où des professionnels les écoutent, les orientent, et peuvent signaler leur situation aux référents de leur académie, pour une prise en charge suivie. Ce numéro est également joignable de l'étranger au 01 44 93 30 79. Le 3018 dédié à la lutte contre les cyber violences. Ce numéro n'est techniquement pas accessible de l'étranger. Oui, pour cette raison, Net écoute propose des solutions d'accès au 3018 par d'autres moyens : Chat, Mail, WhatsApp. Ces moyens d'accès, pour chacun de ces niveaux, sont indiqués sur la page 3018.fr. Pour en savoir plus, cliquez ici.

  • Français de l’étranger, informez-vous sur vos retraites !

    Le 9 décembre 2021 à 17h30 (heure de Paris), le Cleiss (Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale) et l'Assurance retraite organisent un webinaire sur la retraite après une carrière à l'étranger. N’hésitez pas à y participer et à y poser vos questions. Pour vous inscrire: https://www.subscribepage.com/cleiss Si vous êtes déjà retraité et que vous avez une difficulté avec votre certificat de vie, un service d'assistance téléphonique vient d’être mis en place. Il répond à vos questions : - réception du document ; - utilisation du service en ligne ; - organisation des démarches auprès des autorités consulaires locales etc. Un numéro unique pour l’ensemble des régimes de retraite : (+33) 9 74 75 76 99 Service disponible du lundi au vendredi 8h-17h (heure de Paris) Transmettez l’information si vous connaissez des personnes concernées

  • Café Joyeux : Un autre regard sur le handicap.

    Samedi a été inauguré à Lisbonne le 1er Café joyeux du Portugal en présence de nombreuses personnalités comme Marcelo Rebelo de Sousa, Président de la République portugaise , Carlos Moedas, Maire de Lisbonne, Sophie Cluzel secrétaire d'Etat aux Personnes Handicapées et Ana Sofia Antunes, SE da Inclusão das Pessoas com Deficiência. Situé face de l’Assemblée de la République au 26 Calçada da Estrela, il ouvre aujourd’hui ses portes au public. Les cafés Joyeux emploient et forment des personnes majoritairement atteintes de trisomie 21 ou de troubles cognitifs comme l’autisme. Ils permettent de rendre le handicap visible et de favoriser la rencontre, en proposant du travail, en milieu ordinaire, à des personnes éloignées de l’emploi. Je ne peux que me réjouir que ce beau concept, né en France à l’initiative de Yann Bucaille, s’exporte en dehors de nos frontières. J’espère que d’autres cafés joyeux ouvriront à l’étranger pour permettre l’épanouissement de jeunes handicapés et changer les regards sur le handicap. Pour en savoir plus sur les Cafés Joyeux : https://www.cafejoyeux.com/fr/

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